La finale nationale du concours "Ma thèse en 180 secondes" se tiendra les 30 et 31 mai prochains. 28 thésards sélectionnés dans les différentes universités métropolitaines et d'Outre-mer se retrouveront à Bordeaux. Le lauréat participera ensuite à la finale francophone, en septembre, au Maroc.
Ma thèse en 180 secondes permet aux doctorants de présenter leur sujet de recherche, en français et en termes simples, à un auditoire profane et diversifié.
En trois minutes, chaque candidat doit faire un exposé clair, concis et néanmoins convaincant sur son projet de recherche, le tout avec l’appui d’une seule diapositive !
Les thésarts - doctorants et leurs sujets de thèse
- Alexandre FORTIN (Université de Champagne) pour sa thèse sur la simulation d'expérience d'angiographie cerébrale
- Philippine CHAMBAULT (Université de Strasbourg) pour sa thèse sur la migration des tortues
- Aurélien FRESNEAU (Aix-Marseille université) pour sa thèse en astrophysique
- Aurélien QUILLET (Normandie Université) pour sa thèse sur les microARNs dans les cancers
- Mathieu BUONAFINE (Sorbonne Universités) pour sa thèse sur le récepteur minéralocorticoïde
- Michael GONZVA (Université Paris-Est) pour sa thèse sur les systèmes de transport en milieu urbain
- Pauline MAISONNASSE (Université Paris-Saclay) pour sa thèse sur la grippe porcine
- Marie PETITJEAN (Université de Bourgogne Franche-Comté) pour sa thèse sur une souche épidémique de Pseudomonas aeruginosa
- Florian GUIBBAL (Université de la Réunion) pour sa thèse sur le dépistage de la plaque d'arthérome
- Thaïs HAUTEBERGUE (Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées) pour sa thèse sur le métabolome secondaire du pénicillium
- Thibault HARLE (Université Paris Seine) pour sa thèse sur la caractérisation d'un matériau de construction composite
- Tristan RUBIO (Languedoc Roussillon Universités) pour sa thèse sur la diversité des mécanismes d'interaction des vibrios du clade splendicus avec leur hôte, l'huitre creuse
- Alice de ROCHECHOUART (Paris Sciences et Lettres) pour sa thèse sur l’eschatologie du présent, un motif dans la philosophie contemporaine française
- Samatha JAMES (Guyane) pour sa thèse sur l'identification des gènes du virus de l'herpès humain
- Sol SANCHEZ-DEHESA (Université Paris Lumières) pour sa thèse "Réflexions sur les industries de chronologie acheuléene"
- Younès FAYDI (HeSam Université) pour sa thèse sur le classement dynamique des sciages feuillus
- Charlotte RASSER (Université Sorbonne Paris Cité) pour sa thèse sur les stents artériels
- Bertrand COCHARD (Université Côte d’Azur) pour sa thèse sur la réification spectacle et imagification dans la philosophie de Guy Debord
- Vittoria NOVELLI (Picardie Universités) pour sa thèse sur l'amélioration du rendement de l'énergie solaire
- Guillaume PLASSAN (Communauté Université Grenoble Alpes) pour sa thèse sur la vie agitée d'un téléphone portable
- Julia SOEWARTO (Université de la Nouvelle Calédonie) pour sa thèse sur la rouille des myrtacées
- Perrine BERMENT (Universités d’Aquitaine) pour sa thèse sur la modélisation mathématique des tumeurs cérébrales
- Nicolas URRUTY (Université Léonard de Vinci - Limoges) pour sa thèse sur l'mpact de la réduction des pesticides sur le rendement du blé
- Julie RIVIERE (Lille Nord de France) pour sa thèse sur le thème de l'insatisfaction corporelle
- Lucie POULET (Université Clermont Auvergne et Associés) pour sa thèse sur la croissance de plantes supérieures en environnement de gravité réduite
- Camille KERBAOL (Université Bretagne Loire) pour sa thèse sur la correspondance d'un officier de la Marine Royale française 1781-1791
- Thomas PERROT (Université de Lorraine) pour sa thèse sur les champignons dégradeurs du bois et leurs mécanismes de défense
- Mathilde PETTON (Université de Lyon) pour sa thèse sur les bases neuronales des fluctuations spontanées