C'est l'histoire d'un homme pressé, même débordé. Un plombier de Gravigny qui, malgré un carnet de commandes plein jusqu'en juillet prochain, s'apprête à se séparer de ses deux salariés et vendre sa petite entreprise.
L'homme doit à l'Etat quelque 27 000 euros. Une somme dont il doit s'acquitter dans les deux semaines.
Elle correspond au paiement de ses charges sociales, des charges dont il dénonce l'ampleur et que sa banque refuse de financer.
Une situation préoccupante qui, selon la CAPEB, ressemble actuellement à celle de beaucoup d'artisans.