Au moment où l’USQ fête ses 110 ans, le président des Canaris fait le point et explique pourquoi les deux clubs de l’agglomération rouennaise ne vont pas fusionner
"Le passé me donne raison"
Un an après la folle finale de la Coupe de France, c’est un président meurtri qui célèbre les 110 ans de l’US Quevilly. A l’issue d’une saison catastrophique et avant une descente en CFA, Michel Mallet reconnaît avoir été affecté et avoir -parfois- perdu un peu de la passion du football. Même si quelque chose semble s’être cassé en lui, il défend toujours aussi farouchement ses choix.Comme sur la place de son club. Le National ? "Un costume trop grand pour Quevilly".
Quant à la question d’un rapprochement ou d’une fusion entre l’USQ et le FCR (une union souhaitée par les collectivités locales, certains élus et bon nombre de contribuables) la réponse du président au porte monnaie en peau de hérisson est claire : "du côté de Quevilly, ce n’est pas d’actualité, car je n’ai pas envie de m’impliquer dans un projet qui s’ouvre vers le professionnalisme" .
VIDEO : l’interview vérité de Michel Mallet par François Verly (extrait de "Arrêts de jeu", le magazine des sports de la rédaction de France 3 Haute-Normandie, du lundi 6 mai 2013)
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