Déjà primé au dernier trimestre 2014 du label Entreprise du Patrimoine Vivant, l'usine de la baie du Mont Saint-Michel confirme son beau succès 2014. Les résultats sont bons et le marché continue de croître. Les chandails à rayures se vendent très bien au Japon comme en France.
Les tricots saint James ne séduisent pas que les marins.. Ils sont aussi portés par l'armée, la police, les joueurs du Stade Malherbe de Caen et bien d'autres encore. Le chiffre d'affaires de l'an passé a atteind les 45 millions d'euros.
Luc Lesénécal, le PDG des Tricots Saint James a reçu en octobre 2014 le label Entreprise du Patrimoine Vivant. Une marque de reconnaissance du ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi qui lui a été remis directement par Laurent Fabius, lors d'un déplacement dans la Manche.
Ce label donne droit à des crédits d’impôt dans le domaine de l’apprentissage et la création de nouveaux produits. Il distingue des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux et industriels d’excellence.
Les Tricots Saint James, ont ainsi rejoint les marques les plus prestigieuses de la haute couture française.
Dans cette usine, on fabrique des marinières depuis 1889. certes la laine ne vient plus des moutons de la baie du Mont Saint-Michel, mais d'Australie.
Les marinières ont toujours 21 rayures et les méthodes de fabrication n'ont pas vraiment changé
Adèle Desachy et Joël Hamard avec en interview Luc Lesénécal, président des Tricots Saint-James et Christine Duhamel, salariée de l'entreprise depuis 24 ans :