Avec Rolland Courbis, "ça fait un cerveau de plus" au Stade Malherbe selon Fabien Mercadal

Après une conférence de presse en solitaire la semaine dernière, Fabien Mercadal et son aîné sont apparus ensemble devant la presse ce jeudi pour afficher leur unité avant le déplacement à Nîmes.

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"On n'a pas eu trop de compliment sur le fait que (ndlr: à Monaco) ça ne s'est pas passé comme on aurait pu penser que ça se passe." Pour résumer la pensée de Rolland Courbis, les médias auraient dû saluer, lors de la victoire à Monaco, le bon fonctionnement du duo qu'il forme avec Fabien Mercadal. Et le vieux routier de regretter "le pataqués" entraîné par sa conférence de presse en solitaire la semaine dernière. "C'est sûr que d'avoir donné toutes ces précisions, ça a plus compliqué les choses qu'autre chose."

Le chevalier jedi et son padawan étaient donc côte à côte face à la presse ce jeudi, à deux jours du déplacement à Nîmes, pour afficher leur unité. "Ça se passe comme un duo, ce qui a d'ailleurs déjà existé à Nîmes: Pibarot et Rouvière, à l'époque, ça se passait pas trop mal. Là, on a reformé un duo. On va répéter et rerépéter que ça se passe bien et qu'on est d'accord 8 à 9 fois sur 10. Quand il faut décider et qu'on est pas d'accord, Fabien a répondu, par diplomatie, que c'est l'ancienneté qui prime", a expliqué Rolland Courbis.

Et son cadet d'acquiescer en décrivant le mode de fonctionnement du coach bicéphale lors des matchs. "Sur le terrain, je suis debout, je communique avec mon capitaine. Toutes les informations que j'ai, je les échange avec Rolland. Même en temps réel on arrive à se mettre d'accord, tout simplement. Ça fait un cerveau en plus."
 

"Monaco, ils avaient gagné à Caen ? Et Nîmes, aussi ?"

Ce samedi, le Stade Malherbe de Caen effectue un deuxième déplacement de suite dans le sud avec l'espoir d'engranger également une deuxième victoire de suite. 19 mois environs que ce n'est plus arrivé. "Monaco, ils avaient gagné à Caen ? Et Nîmes, aussi ?", demande Rolland Courbis à Fabien Mercadal en conférence de presse, "C'est la 502e question que je lui pose cette semaine", s'excuse le coach en amusant le parterre de journalistes.

Blague à part, Mercadal et Courbis estiments tous deux que le prochain match sera loin d'être une formalité. "C'est une équipe estampillée ligue 2 mais ça n'existe pas une équipe de ligue 2", explique le premier, "C'est une équipe de ligue 1 qui se connait parfaitement avec quelques joueurs de très très haut niveau, avec un énorme potentiel offensif couplé à un état d'esprit quasi parfait. C'est une équipe qui a fait peur à pas mal de grosses équipes du championnat.".

Et le second de confirmer, malgré la défaite nimoise la semaine dernière face à Saint-Etienne: "Jamais, je n'ai pu voir Nîmes mériter de perdre le match. si on fait des comparaisons avec Saint-Etinne, qu'on a rencontré il y a quinze jours, on se dit qu'on  va rencontrer une équipe au moins du niveau de Saint-Etienne. À Nîmes en plus, chez eux. Ça fait un test sympa."
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