Le DRH d'Areva, François Nogué, confirme la suppression de 346 postes à la Hague sur une base de volontariat
Ces personnes-là pourront bénéficier de cessation d'activité, c'est-à-dire de départ en préretraite à taux plein. D'autres salariés pourront tirer profit de mobilité interne ou de dispositifs de reconversion.
François Nogué ,hier devant les caméras et ce matin dans la presse et dans le quotidien Le Parisien, assure le service après-vente du plan de départs volontaires touchant le géant mal-en-point du nucléaire français.
A compter du mois de mars de l'année prochaine, il prévoit la suppression de 2700 emplois. Trois mois de négociations avec les syndicats ont permis de parvenir à un accord signé par 4 syndicats sur 5 (la CGT n'a pas voté le texte) représentatifs dans l'entreprise.
Les organisations alertent sur ce plan de suppressions de postes mis en oeuvre à charge de travail constante. "Les réductions d'emplois ne se traduiront en aucun cas par un risque accru en matière de sécurité ou de sûreté de nos installations" argumente ce matin le DRH.
Le reportage de la Rédaction nationale de France 3.
Areva : 2 700 postes supprimés d'ici 2017
