Areva indique que cette contamination a été détectée lors des contrôles radiologiques menés habituellement dans l'usine. L'entreprise a proposé à l'Autorité de Sûreté Nucléaire de classer cet évènement au niveau 1 sur l'échelle internationale des événements nucléaires.
L'incident remonte au 4 mai : la contamination a été décelée sur les chaussures de salariés à leur sortie de "la zone contrôlée de l'atelier de cisaillage de l'usine UP2-800". Areva précise que les "cinq intervenants concernés ont été pris en charge conformément aux procédures internes. Les analyses réalisées confirment l’absence de contamination corporelle".
L'entreprise ajoute que les investigations radiologiques ont permis de démontrer "une contamination limitée à 12 m² dans une salle située en zone nucléaire". Le communiqué publié ce mercredi matin indique qu'un "suintement d'acide au niveau d’un équipement mural de prise d’échantillons est à l’origine de cette contamination" et que la surface a été "assainie".