La ligue française de protection du cheval alerte sur le sort de chevaux négligés ou maltraités. Ils ont été adoptés ou achetés par des particuliers qui ne mesurent pas les besoins de ces animaux.
Comme chiens et chats, les chevaux et poneys sont parfois victimes de décisions irréfléchies. L'alimentation, les frais vétérinaires ou de maréchal-ferrand n'ont pas été anticipés. Leur état de santé inquiète les voisins qui alertent des associations.
Le club de la "cavalerie à l'étrier" à Gainneville près du Havre en recueille. Boiteux, amaigris, choqués, ces chevaux sont ramenés à la vie avec une patience infinie.
La ligue française de protection du cheval, créee en 1850, souhaite une prise de conscience des particuliers.
"Les gens oublient souvent quand ils achètent un poney sur "le bon coin"ou chez un marchand de chevaux, on leur dit ne vous inquiétez pas, un peu d'herbe, ça suffit, c'est faux !"