Il ne suffit pas d'avoir un masque dans sa poche, autour du cou, ou ailleurs....il faut le porter pour masquer nez et bouche. Ce week-end, les agents font de la sensibilisation. La semaine prochaine les oublis ou refus pourront valoir une amende.
135 euros, c'est une amende significative. Les mauvaises excuses ne suffiront pas pour y échapper. Les panneaux ont été fixés dans les périmètres d'obligation de porter le masque. Nul n'est sensé ignorer la loi.
A Rouen, l'obligation est en vigueur depuis le 13 août. Elle dure au moins jusqu'au 30 septembre. Le Préfet laisse aux habitants le temps de prendre connaissance des périmètres en ville.
On va dédier cette tâche à certaines patrouilles chaque jour quotidiennement dans le centre-ville, parcs et quais de Seine
Les bars "option" discothèque dans le collimateur
La Police a aussi mission de "repérer les bars qui ne respecteraient pas les gestes barrière ou pourraient se transformer en discothèque, alors que c'est strictement interdit. Le Préfet n'hésitera pas à recourir au pouvoir de fermeture administrative" explique le secrétaire général de la préfecture de Seine-Maritime"Rouen : les quartiers où le masque est obligatoire en extérieur à partir de jeudi
Il ne faudra pas oublier de prendre son masque...et de le porter correctement dès ce 13 août dans le centre ville et le quartier Saint-Sever. Les arrêtés ont été pris par le préfet ce mercredi 12 août en accord avec le président...
Distribution de masques pour les personnes démunies
Le coût des masques est un obstacle pour les familles précaires, les personnes sans domicile. De nouvelles livraisons ont été faites aux associations."avec l’entrée en vigueur de ces nouvelles mesures rendues nécessaires par le contexte sanitaire, les principaux services de la veille sociale - en particulier les maraudes de rue, les accueils de jour, le service d’accueil des demandeurs d’asile et les centres d’hébergements - sont dotés par l'État de masques supplémentaires leur permettant d'assurer une distribution plus importante aux personnes sans logement."
(source : préfecture de Seine-Maritime)