Depuis 2014, les moules sauvages sont observées sur 4 plages de Seine-Maritime. L'enjeu était de comprendre si la pêche à pieds avait un impact sur leur présence, la réponse semble négative mais l'agence de l'eau a décidé de continuer à financer cette enquête de terrain.
Depuis 4 ans, la cellule de suivi du Littoral normand est chargée d'observer 4 moulières réparties en Seine-Maritime. Il s'agit de la Vareuse de Vasterival, de Mesnil-Val plage, de Quiberville et du Puys.
L'enjeu, en 2014, était de lancer une étude sur l'impact de la pêche à pieds sur les moulières sauvages. La cellule s'est rendue deux fois par an sur les sites retenus pour mesurer la moulière et recueillir quelques coquillages pour les étudier.
Ce programme de recherche est piloté par le Conservatoire du littoral et financé par le département 76 et l'Agence de l'eau. Les premiers résultats ne montrent pas d'impact évident. Par contre, sur 3 des 4 sites, les moules sauvages sont en régression. L'Agence de l'eau a donc décidé de financer cette étude en 2017 et 2018 pour mieux coomprendre ce phénomène.