Son directeur, Christian Audouin, l'a affirmé dans un éditorial lors du lancement: depuis un an les recettes publicitaires du titre ont chuté de 17 %
Résultat: l'Echo se retrouve dans une très mauvaise passe, alors que les aides apportées par l'Etat ou par les collectivités locales ont été revues à la baisse. A titre d'exemple, le Conseil général de la Haute-Vienne verse moins qu'auparavant. Selon Christian Audouin, la "perte" serait ainsi évaluée à 60 000 euros uniquement pour cette collectivité. Mais l'aide de l'Etat s'avère également moins généreuse.
Dans ces conditions, le quotidien se retrouve dans la tourmente et lance une souscription. Ce n'est pas la première fois dans l'histoire de l'Echo qu'une telle démarche a lieu mais elle semble cette année présenter un caractère d'urgence plus fort encore que par le passé.