La crue du Clain a endommagé de nombreuses parcelles de terrains

Alors que le Clain amorce sa décrue, ses riverains propriétaires de terrains constatent les dégâts. Jardins noyés ou boueux, il faudra du temps pour faire redémarrer les cultures de saison.

On est encore très loin des niveaux atteints en décembre 1982 lorsque de très fortes pluies se sont abattues sur Poitiers. Les 18 et 19 décembre, les eaux commencent par noyer la base de kayak de Saint-Benoît puis bloquent plusieurs routes du côté de Ligugé.
Le lundi 20, alors qu'on croit à une décrue, la ville est sous les eaux et un record de crue centenal est établi à 5.60 m. Embouteillages monstres, trains stoppés, téléphone coupé, un cauchemar pour les Poitevins.
Le mercredi 22 décembre, les journaux évoquent «une ville sinistrée», même si heureusement on ne déplore aucun blessé.

Un "flash-back" qui est encore en tête de nombreux Poitevins pour qui le Clain n'est pas toujours "une longue rivière tranquille" : ses eaux savent se déchaîner en imposant une force brutale.
La récente crue d'avril 2013 a été modérée, mais suffisante pour envahir et noyer de nombreux terrains sur lesquels des Poitevins aiment jardiner et cultiver leurs fruits et légumes. 

La décrue s'amorce, mais de nombreuses cultures ont pris du retard, comme l'ont constaté Anne-Marie Baillargé et Francis Tabuteau.




 
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