A l'espace Encan, le deuxième congrès international de la chimie verte réunit environ 500 chercheurs, responsables de recherche et de développement des entreprises, experts, venus de 48 pays.
Ils représentent les grandes universités et les centres de recherches internationaux, comme l'université Mc Gill (Canada), Yale (Etats-Unis) , l'institut Max Planck (Allemagne), l'université de Dalian (Chine), Utrecht (Pays Bas), Rio (Brésil) . Ils sont présents et réunis cette semaine pour plancher sur un avenir plus écologiquement responsable. Le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) représentent la France.
Des entreprises, des groupes industriels seront également représentés.
Ce congrès intitulé "Chimie verte, carbone renouvelable et procédés éco-responsables", a pour objectif "de permettre des échanges au plus haut niveau sur la chimie du futur ainsi que le développement de nouveaux programmes de recherche ou de collaborations entre laboratoires internationaux", selon Joël Barrault et François Jérôme, directeurs de recherche au CNRS à l'institut de Chimie des Milieux et Matériaux de Poitiers, co-présidents du congrés.
La présidente PS du conseil régional de Poitou-Charentes, Ségolène Royal a ouvert le congrès saluant les spécialistes qui vont débattre des enjeux "de cette chimie verte, "fer de lance de la mutation écologique".
Les explications avec Eric Vallet et Joël Bouchon, intervenants: Joël Barrault, CNRS Poitiers co-organisateur, Paul Anastas, agence de la protection de l'environnement américaine.