Le conseil municipal de cette commune au nord de Limoges avait introduit un recours le 24 septembre au sujet du tracé de la LGV qui doit traverser la commune si le projet devait être confirmé
Le recours visait l'annulation pour excès de pouvoir d'une décision de la Commission nationale du débat public (CNDP) datée du 5 septembre dernier. La CNDP avait refusé de recommander une concertation sur l'opportunité du projet de LGV et de rouvrir le débat public.
Les élus réclamaient une concertation nouvelle. Ils estiment que depuis le dernier débat, en 2006, des solutions alternatives au tracé existent.
Le tribunal administatif de Paris a rejeté la requête formulée par plusieurs communes dont Peyrilhac. Mais elles ont deux mois pour faire appel devant la Cour administrative d'appel de Paris.