Tout est parti le jeudi 12 décembre d'un article dans "Le Populaire du Centre" qui signalait un courrier de Michel Garrandaux, procureur de la République, adressé au directeur de la radio
Le procureur indiquait notamment que le fait de divulguer la position des radars fixes et mobiles à l'antenne chaque matin constituait «une entrave au bon fonctionnement des services de la gendarmerie dans le département» et notamment à «la lutte contre les cambriolages».
Voici un aperçu du traitement de cette information depuis 48 h dans différents médias: