Les députés viennent de voter un amendement à l'assemblée nationale : les proches d'une personne en mort clinique ne seront plus consultés pour un prélèvement d'organe, mais simplement informés du don. Une mesure pour favoriser les prélèvements.
Seul moyen pour s'opposer : s'inscrire au registre national des refus.
La nouvelle mesure satisfait les associations qui voient dans la consultation des familles un frein au don d'organes, mais inquiète les médecins chargés de faire les prélèvements. Ils craignent les conflits avec les familles.
Dans le reportage qui suit, on entend les positions sur le sujet de :
- Danielle Troutaud, volontaire pour un don
- Christian Lebrette, président de France ADOT 87
- Nicolas Pichon, médecin-réanimateur au CHU de Limoges, coordinateur du don d'organes
vidéo - un reportage de Jérémy Armand, Mickaël Martin et Antonio Dos Santos
Et vous, vous opposeriez-vous au don d'organes ? Vous pouvez répondre à cette question dans la rubrique Question d'Actu.