La mode des food-trucks en vogue à Bordeaux

Ces "camions-resto" proposent des sandwichs, burgers ou plats à emporter de qualité, à partir de produits garantis frais. Un concept très prisé aux Etats-Unis qui commence à se développer en France et petit à petit à Bordeaux.

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Il y a le camion "By Oliver" lancé par le chef Bruno Oliver il y a tout juste un an (octobre 2012). 

Et puis il y a la fourgonnette rouge El Taco del Diablo qui sillonne les parkings de l'agglomération bordelaise depuis juillet 2013.

A chaque fois, le public adhère. La nourriture est de qualité, rapide, et moins chère qu'au restaurant. Parfait pour des pauses déjeuners de plus en plus courtes et des budgets restreints.

Bruno Oliver a plus ou moins repris le concept du tout premier food truck lancé à Paris en 2011 par la chef californienne Kristin Frederick. Elle a été la première à proposer, dans son camion qui fume, des hamburgers maison, avec de la viande hâchée sur place, et des frites fraîches. 

Cette nouvelle "cuisine itinérante" est d'ailleurs encouragée par le chef étoilé Thierry Marx. Il a lancé une école de street food à Blanquefort, en Gironde, et créé l'association "Street food en mouvement". Pour aider ceux qui souhaitent se lancer dans l'aventure.

"La Street Food est une vraie alternative à la malbouffe, un puissant moteur d’intégration dans la société. La Street Food, c’est l’avenir !" -  Thierry Marx.


Thierry Marx prône la qualité, la rigueur, une hygiène irréprochable, un travail sur le goût et la diversité. 

La seule difficulté est de trouver les bons emplacements. Pas question de se garer n'importe où. C'est la mairie qui délivre les autorisations. Il s'agit d'éviter la concurrence et les tensions avec les restauranteurs. 

"On a eu des soucis" reconnaît Lucas Oliver, "c'était notamment place Ravezie à Bordeaux, avec certains restaurateurs. On a dû changer d'emplacement le vendredi. Mais c'est pas grave, on rebondit. On recherche d'autres emplacements."


Le ticket moyen de ce genre de restauration rapide est d'environ 10 euros. Et il vaut parfois mieux commander à l'avance pour éviter de longues files d'attente...

 

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information