Le dispositif de sécurité prévu est enfin prêt. Les 32 bouées, 15 caméras et la brigade fluviale sont dorénavant le nouveau triptyque sécurité des bords de Garonne.
L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter.
Notre politique de confidentialité
La mise en place de caméras de vidéo surveillance supplémentaires s'est faite tout le long de cet été. Il y avait sept caméras jusque-là dans le port de la Lune, il y en a eu quinze au total à la fin du mois de juillet. Les toutes dernières sont venus compléter le dispositif. Deux à la Maison écocitoyenne et cours Xavier-Arnozan, quatre de plus au 15 juillet aux quais de Queyries et Benauge, rive droite , Hangar 14 et Cap Sciences, rive gauche et enfin deux de plus fin juillet aux bassins à flot. Rappelons que la mise en place des nouvelles caméras entre le pont de pierre et le cours Xavier-Arnozan fut accélérée en raison de "Bordeaux fête le vin". Trois caméras au lieu d'une jusque-là avait surveillé le site sur les 2 kilomètres de "festivités".
Des bouées remplacent les barrières
Depuis hier matin, il n'y a plus de double barriéres sur les quais de la Garonne. Les trois kilomètres métalliques ont été remplacées par des bouées orange fluo, et elles ne passent pas inaperçues. Leur installation est plus précoce que prévue. Elles étaient annoncées pour fin novembre. On compte une bouée tous les 150 mètres. Deux aux Bassins à flot, 27 de Cap Sciences au pont de pierre, une sur le belvédère Luther-King et deux sur la rive droite, côté Bastide.
La brigade fluviale
le dernier maillon du dispositif de sécurité est la brigade fluviale. Elle était provisoire jusque-là, elle va devenir une unité d'intervention à part entière directement rattachée aux services de police de Bordeaux. La quinzaine de fonctionnaires, tous maîtres nageurs sauveteurs brevetés, ne vont pas remplacer pas l'équipe de secours nautiques des sapeurs pompiers. Les deux structures vont coopérer, le but étant d'assurer une continueté, de façon à surveiller le fleuve du matin au soir, même la nuit.