Kévin Silveiredo a quitté la maison de sa grand-mère aux alentours de 5 heures du matin, ce vendredi 18 octobre. Parti à pied pour se rendre à son travail, il n'a plus donné signe de vie depuis ce jour-là. Une enquête a été ouverte par la police d'Angoulême, selon des proches de la famille.
Kévin Silveiredo a disparu depuis ce vendredi 18 octobre, aux alentours de 5 heures du matin. L'homme, âgé de 28 ans, se rendait au travail. Contacté à plusieurs reprises par ses proches, il n'a plus donné signe de vie depuis le jour de sa disparition. Plusieurs battues sont organisées ce mardi 22 octobre par ses proches pour tenter de le retrouver ou d'obtenir des indices quant à sa localisation.
"Il est parti sans rien"
Vers 5 heures du matin ce jour-là, Kevin est parti à pied en direction du magasin Intermarché, situé au quartier de Ma Campagne d’Angoulême, pour commencer sa journée de travail. Vivant chez sa grand-mère, dans le hameau Le Petit Giget de la commune de Vœuil-et-Giget, c’est elle qui l’emmène au travail habituellement. "Comme elle était malade, il a décidé de partir à pied" raconte sa sœur Lydie. Kevin lui envoie un message pour bien lui signifier qu’il était parti de chez elle.
Aux alentours de 5 h 30, elle reçoit un autre message de sa part lui expliquant qu’il était bien arrivé sur son lieu de travail. En se levant, elle se rend compte qu’il pleuvait et part à sa recherche. Sur la route menant au supermarché, elle ne trouve pas son petit-fils. Dans la matinée, elle décide de faire quelques courses à ce supermarché et demandes aux employés s’ils avaient aperçu Kévin. "Il n’est jamais arrivé : il ne s’est pas présenté au travail depuis vendredi matin", ajoute Lydie.
Le lendemain, une amie de la grand-mère de Kévin envoie un message sur Facebook pour signaler la disparition de ce jeune homme de 28 ans.
Des battues organisées pour retrouver le jeune homme de 28 ans ce mardi
Depuis ce jour, plus aucun signe de lui. "Il est parti sans rien, même pas son sac à dos. Il avait uniquement son téléphone, peut-être ses papiers. Il faut que l’on aille voir son casier sur son lieu de travail, il y a certainement des choses", explique Lydie. Ses proches ont essayé de le joindre par téléphone, en vain : "tous ses appels sont directement sur le répondeur."
Plusieurs battues ont été organisées dans l’après-midi, ce mardi 22 octobre. Une cinquantaine de personnes se sont regroupées au Netto de Puymoyen à 14 h au sud de la ville d’Angoulême et dans les bois alentours. Les recherches n'ont rien donné. Une autre est prévue à 17 h 30 en direction du centre-ville et dans le quartier de son lieu de travail. La famille est allée signaler sa disparition à la police d’Angoulême, hier, ce lundi 21 octobre. D’après ses proches, une enquête a été ouverte par la police d’Angoulême.