Depuis le 1er avril les industriels et les distributeurs ont l'obligation d'indiquer le pays d'origine des produits transformés contenant de la viande ou du lait.
Ce matin, les jeunes agriculteurs et la FDSEA de la Corrèze se sont mobilisés afin de savoir si la loi est bien appliquée.
La traçabilité des produits un enjeu majeur pour les consommateurs mais aussi pour les producteurs.
Suite à un décret gouvernemental de 2016, les industriels et les distributeurs sont obligés depuis le 1er avril d'indiquer le pays d'origine des produits transformés contenant de la viande et du lait. Ce matin, les jeunes agriculteurs et la FDSEA de la Corrèze se sont mobilisés afin de voir si le décret est bien appliqué. Une action en deux étapes: d'abord dans une grande surface puis une cantine administrative.
D'ou vient ce que je mange ?
Ils ont passé les rayons au crible. Une dizaine de membres des jeunes agriculteurs et de la FDSEA de la Corrèze qui s'intéressent à la traçabilité des produits carnés et lactés. Bilan plutôt mitigé, certains n'indiquant pas le pays d'origine.
Ici, ce n'est pas la grande surface qui est dans le viseur mais bien les industriels agroalimentaires. Une action qui est bien comprise par le dirigeant du magasin.
Autre lieu, même objectif. Les agriculteurs se rendent à l'entrée de la cantine de la cité administrative. C'est la deuxième fois qu'ils s'invitent dans la structure. Si la première visite n'avait pas été satisfaisante, cette fois il y a du progrès
Depuis le 1er avril, un décret oblige les industriels et les distributeurs à indiquer le pays d'origine des produits transformés contenant de la viande ou du lait. Les agriculteurs envisagent d'autres actions pour le vérifier