Le Wwoofing est né en Angleterre en 1970. Aujourd'hui le mouvement séduit de plus en plus de monde en France. Le principe : les agriculteurs proposent nourriture, logement et partagent des connaissances en échange d'une aide sur leur exploitation. Des vacances au vert mais en travaillant la terre.
Les Wwoofeurs aident leurs hôtes qui les hébergent, les nourrissent dans leur ferme et leur transmettent des savoir-faire agricoles biologiques.
A l'origine Wwoof était les initiales de « Working weekends on organic farms » (week-ends de travail dans des fermes bio) mais aucun échange monétaire ne se fait et aucun contrat de travail n'est signé. Ce réseau mondial alternatif, voulant promouvoir une agriculture plus respectueuse de la nature, regroupe de nombreux pays répartis sur les cinq continents.
Ce nouveau genre de tourisme attire plutôt les jeunes en quête d'expériences et de rencontres.
A St-Pardoux dans les Deux-Sèvres, nous avons rencontré Clémence, une jeune wwoofeuse étudiante à Grenoble et Amandine, la maraîchère qui l'accueille sur son exploitation :
Les Wwoofeurs aident et sont hébergés et nourris par leur hôte. Ce sont souvent des étudiants curieux qui viennent prendre des vacances tout en découvrant le métier d'agriculteur comme dans cette ferme spécialisée dans le maraichage à Saint-Pardoux dans les Deux-Sèvres. Anne-Marie baillargé et Stéphane Bourin.