Les réservistes à l'entraînement à Saint Astier

L'idée est de pouvoir déployer 1.000 réservistes en appui de l'opération Sentinelle, qui mobilise 7.000 à 10.000 soldats en permanence. Ainsi de jeunes stagiaires se sont portés volontaires pour participer à la préparation militaire gendarmerie au centre d'entraînement de Saint-Astier.

Ces jeunes âgés de 17 à 31 ans sont en stage pour, peut-être, devenir gendarmes réservistes à l'issue d’une dizaine de jours de formation. Venus d'Aquitaine, du Limousin, de Poitou-Charentes et plus généralement de tout le grand Sud-Ouest, ces jeunes doivent avant tout passer des tests médicaux et psychologiques. Le maniement des armes insiste beaucoup à la fois bien sûr sur l’aptitude physique mais aussi sur la capacité de discernement.

L'idée est de pouvoir déployer 1.000 réservistes en appui de l'opération Sentinelle, qui mobilise 7.000 à 10.000 soldats en permanence. Ainsi de jeunes stagiaires se sont portés volontaires pour participer à la préparation militaire gendarmerie au centre d'entraînement de Saint-Astier.

Rappelons que la réserve opérationnelle, à laquelle le président François Hollande a décidé de faire appel après l'attentat de Nice, constitue un vivier de volontaires et anciens militaires, au service des armées et de la gendarmerie.

Elle comprend 180.000 hommes et femmes au total, toutes catégories confondues, parmi lesquels l'Etat peut puiser en cas de nécessité. L'armée compte à elle seule 28.000 réservistes volontaires et la gendarmerie 26.000.

Ces volontaires, issus de la société civile (salariés, professions libérales, étudiants...) ou anciens militaires, signent un contrat pour une durée d'un à cinq ans, assorti d'une solde et servent en moyenne 25 jours par an.

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