Le premier TGV arrivera à Bordeaux le 1er juillet, voyage inaugural et très officiel. Le Président Macron est attendu. D'une seule voix, Alain Juppé et Alain Rousset compte le convaincre de prolonger la LGV au delà de Bordeaux. Malgré les oppositions et la difficulté du financement.
D'une seul voix ! Les deux Alain ont toujours fait l'union sacrée autour du TGV. Alain Juppé, maire de Bordeaux et patron de la métropole bordelaise pour le rayonnement de son territoire, et Alain Rousset pour le développement de la région qu'il préside.Alors que le TGV version 2 h 04 entre Bordeaux et Paris arrive la semaine prochaine, c'est l'inquiétude quant à l'avenir. Et si le TGV à Bordeaux était un cul de sac ? L'expression est d'Alain Juppé, il le redoute. Le train, seul moyen de lutter contre le tout voiture ou camion pour Alain Rousset qui tire de l'expérience de ces derniers jours avec la canicule. Une leçon : l'urgence climatique doit nous convaincre de favoriser le TGV comme moyen de transport.
Les deux hommes veulent convaincre le Président Macron annoncé samedi 1 er juillet à bord du train inaugural.
Environnement : Choix du train et pas le choix de la voiture
Alain Rousset met en avant l'urgence écologique pour favoriser le TGV au delà de Bordeaux. Voici ses arguments.
Le maire de Bordeaux "lance un appel vibrant pour que le gouvernement s'intéresse au projet", c'est-à-dire lever les menaces sur le financement de la LGV vers Toulouse et l'Espagne.
Le maire de Bordeaux lance un appel au Président Macron pour qu'il appuie le prolongement du TGV au delà de Bordeaux.