Soixante dix danseurs de breakdance ont participé à la 11ᵉ édition du Trocké Dance Battle, près de Bordeaux, devant plus de 300 spectateurs. Découverte de cette discipline à un an des JO de Paris 2024.
Les figures acrobatiques effectuées au sol par les danseurs sont souvent impressionnantes. Spectacle assuré pour le public. C'est de l'art et du sport à la fois.
Cap sur les JO de Paris
Pas moins de 70 danseurs parmi les meilleurs mondiaux venus du Brésil, d'Argentine, du Portugal ou d'Espagne se sont affrontés lors d'une rencontre internationale, dans la banlieue bordelaise samedi 25 février.
Le principe d'une battle est d'improviser et d'enchaîner les figures durant une minute sur une musique que découvre le danseur.
Anita vient d'Argentine et s'exerce en coulisse avant d'aller sur la scène effectuer ses figures : "Il y a un peu de stress, mais c'est bien, car ainsi, tu es plus présent".
Dans la salle, un public très familial de plus de 300 personnes. Le breakdance peut se pratiquer dès sept ans. Plusieurs écoles de dance proposent l'apprentissage de cette discipline à Bordeaux.
Le breakdance s'inscrit cette fois au programme des Jeux olympiques en tant que sport additionnel comme le surf, le skateboard et l'escalade. Appelé également "breaking", ce style de dance urbaine s'est développé à New York dans les années 1970, et il est aujourd'hui pratiqué dans le monde entier.