La ville de Libourne poursuit son bras de fer avec la SNCF qui souhaite réduire le nombre d'arrêts des TGV prévus dans sa gare, une fois la ligne grande vitesse mise en service en 2017. Le médiateur de la SNCF était ce mardi sur place.
Ce mardi, le médiateur désigné par l'entreprise ferroviaire est sur place. Jean Auroux, ancien ministre du travail a pour mission de renouer avec avec les collectivités locales.Une réunion de concertation avait été organisée à la mairie à laquelle des élus de la communauté de commune du Libournais mais aussi de Charente, de Dordogne et du Lot-et-Garonne y assistaient pour défendre la démarche du maire de Libourne, Philippe Buisson.
Le point d'achoppement porte sur le nombre de dessertes de la LGV, seulement trois prévues pour l'instant, et le parking.
Regardez le reportage de Sandrine Valero et Jean-Michel Litvine.