À Saint-Emilion ou dans le Médoc, plusieurs propriétés viticoles se tournent désormais vers les chevaux de trait plutôt que les machines, notamment pour labourer ou butter entre les rangs.
"Faire de la traction animale nécessite une bonne lecture des sols. [...] Comme c'est du travail manuel, on est beaucoup plus raisonnés dans les modes d'intervention" apprécie ainsi Olivier Brunel, directeur technique du Château Soutard.

Jade Rossignol, stagiaire, découvre la pratique du cheval de trait, qu'elle envisage comme activité professionnelle.
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"Ce qui est passionnant, c'est de travailler avec le cheval, qui est déjà un animal de compagnie extrêmement agréable", souligne Marie, stagiaire, déjà conquise.
"Le but c'est d'arriver au bout, et de voir si la personne va aimer ou pas ce travail, puis de l'inciter à faire une formation de perfectionnement si elle le désire", indique Eric Seuve, formateur de l'école.
→ Regardez le reportage de Gilles Coulon et Philippe Turpaud :
Gironde : des chevaux de traits pour l'entretien du vignoble