Les services de police ont intensifié leurs recherches, avec la mise en oeuvre d'un hélicoptère et de drones pour retrouver Richard Iyasawni, mais les recherches n'ont toujours rien donné. Avec les jours qui passent, l'inquiétude grandit pour sa famille.
Richard Iyasawni reste introuvable. Des recherches sont mises en place depuis plusieurs jours pour retrouver cet homme de 84 ans qui n'a plus donné de nouvelles depuis jeudi 28 avril. Le chiens de recherche a marqué à deux reprises, mais les pistes se sont interrompues sans donner de résultat. Les recherches concernent plusieurs quartiers ou communes : Le Palais-sur-Vienne, Rilhac-Rancon, Beaubreuil, Uzurat.
Les services de police de Limoges, chargés de cette disparition inquiétante, ont ce mardi 3 mai mis en place des moyens aériens, en survolant les secteurs de recherche à l'aide de drones, ils ont également fait appel à l'hélicoptère de la gendarmerie national qui a effectué des rotations dans l'après-midi. Malheureusement, malgré ces dispositifs, M. Iyasawni n'a pu être localisé.
Florence, la fille de Richard Iyasawni, poursuit inlassablement ses recherches :
"Je sollicite les réseaux, les amis, la famille, hier, j'ai eu plein de personnes de mon service, là où je travaille, qui sont venues me soutenir et je remercie tout le monde. J'ai mis entre parenthèse ma vie professionnelle, je suis assistante comptable chez Santé Service Limoges.
Grace notamment à ma responsable, il y a eu une grande mobilisation, elle a fait des groupes, avec des infirmières dans chacun des groupes au cas où il faille donner des soins, on avait des couvertures de survie, mais les recherches n'ont rien donné."
Mon papa a l'habitude de marcher longuement, il peut marcher des heures, malgré sa maladie de Parkison, mais là c'est très angoissant.
Florence, fille de Richard Iyasawni
"Avec ma maman nous sommes bénévoles au Secours Populaire et là aussi on a reçu beaucoup de soutien, mais cela fait maintenant plusieurs jours qu'il a disparu et nous sommes très inquiètes.
Mon papa a l'habitude de marcher longuement, il peut marcher des heures, malgré sa maladie de Parkison, mais là c'est très angoissant. Et puis il est aussi diabétique, et si les jambes fonctionnent, il a une main, la gauche, qui est presque invalide, alors s'il est tombé, je crains qu'il ne puisse pas se relever".
Demain, je vais poursuivre les recherches, refaire les circuits qu'on a faits sur Le Palais et Panazol, plus les jours passent, plus on est inquiets."