Selon nos confrères du Parisien, 2 pôles d'enquête sont crées, avec des magistrats spécialisés, pour traiter des catastrophes aériennes, ferroviaires ou liées aux risques technologiques.
Le ministère de la justice a défini ces champs d'action dans une circulaire datée du 29 décembre. Le but est de confier des enquêtes très techniques à des magistrats dédiés. Les dossiers sur le crash du Concorde, la catastrophe d'AZF ou l'accident ferroviaire de Brétigny auraient vocation à être traités par ces nouveaux pôles.
Une décision qui rassure Stéphane Gicquel, secrétaire général de la FENVAC (Fédération Nationale des Victimes d'Attentats et d'Accidents Collectifs), notamment pour le traitement judiciaire de Brétigny. Le 12 juillet 2013, le train Paris-Limoges déraillait en gare de Brétigny-sur-Orge, faisant plusieurs dizaines de blessés et tuant 7 usagers.