LGV et nouveaux horaires pour 2013 : Guillaume Pepy en visite de chantier en Aquitaine.
Visite du chantier de la LGV avec Guillaume Pépy
De très grands travaux menés sur les voies ferrées en Aquitaine. Chaque nuit 1km est rénové. Au total: 103 km de voies sont en passe d'être changées.
2012 était déjà une année de changement, «Mais 2013, ce sera encore plus de chantiers, annonce le président de la SNCF.
Chaque nuit 1km de voie est rénovée en Gironde. 103km seront remis à neuf au total.
Les travaux
L’Aquitaine est déjà en proie à de gigantesques travaux sur les voies en 2012. "Mais 2013, ce sera encore plus de chantiers", annonce le président de la SNCF. Il y aura cinquante chantiers au total en Aquitaine, notamment sur Bordeaux, Narbonne, et Toulouse. Il y aura les travaux de la LGV avec ses raccordements, c’est-à-dire les bouts de ligne entre la future ligne et la ligne actuelle.
Le site de Bordeaux sera lui la zone de tous les travaux, avec la création de la station service du TGV, le nouvel atelier pour accueillir les nouveaux TER, la rénovation de la halle de la gare, le changement des rails et des aiguillages en gare, plus les suites des travaux du bouchon ferroviaire, les travaux de la future gare Euratlantique, et le pont Euratlantique au-dessus des voies ferrées. Tout cela durera jusqu’en 2017.
Changements d'horaires
L'an dernier, plus de 85 % d'entre eux avaient été réorganisés sur l'ensemble du pays.
En 2013, huit Régions seulement vont être touchées par une nouvelle révision de leurs horaires, dont Aquitaine et Poitou-Charentes, essentiellement en raison des travaux d'infrastructures programmés sur le réseau.
Les suppressions de trains
"Nous avons encore trop de trains supprimés en Aquitaine" a pu souligner à nouveau Guillaume Pépy, Président de la SNCF.
L'Aquitaine : «première région de France par le volume de travaux» et qui «représente 8.300 cheminots et 250 gares». «C’est une de nos principales difficultés dans la région», reconnaît Guillaume Pepy. «Nous avons encore trop de train supprimés, en raison de pannes, ou de chocs. C’est de l’ordre de 1,3%, alors qu’il faudrait descendre à 0,7% pour que les clients ne soient pas pénalisés.»