Les producteurs mesurent aujourd'hui les dégâts causés sur les productions après un printemps pluvieux. Les rendements sont faibles et les grains de mais, trop humides, devront être séchés plus longtemps. Conséquence : le revenu des maïsiculteurs va chuter.
La collecte a commencé avec trois semaines de retard et devrait se poursuivre, fait exceptionnel, jusqu'à la moitié du mois de janvier. Mais ce ne sera pas l'année des records en ce qui concerne les rendements dans les champs. Les craintes d'Yves Larrère, maïsiculteur landais, sur le prix de vente de ses épis sont confirmées par Yves Condom, le responsable de la collecte de Maïsadour.