Pyrénées-Atlantiques : manifestation anti-ours à Etsaut

Près de 200 manifestants anti-ours protestent ce mercredi à Etsaut, commune dont la maire est favorable à la ré-introduction du plantigrade. 

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

La mairie d'Etsaut était bloquée ce matin face aux manifestants anti-ours. Il s'agit d'éleveurs des Pyrénées, en colère contre la réintroduction de deux ourses dans les Pyrénées-Atlantiques et les prédateurs. 
 
"Nous voulons rappeler qu'il y a des éleveurs qui sont contre l'ours... qu'on ne vit que de la transhumance et que ce serait quand même dommageable qu'une seule personne puisse avoir la prétention de garder ces ourses chez elle, " explique Daniel Som, éleveur de brebis de Sost.

Du sang a été déversé sur le sol et des voitures par les manifestants.
 

 

Une démission qui ne change pas la donne


La démission surprise de Nicolas Hulot, ancien ministre de l'écologie et porteur du projet ne change rien selon Olivier Maurin, porte-parole des éleveurs de brebis.
Retrouvez son interview en direct de ce mercredi midi ci-dessous : 
 

Cette manifestation intervient alors que les résultats d'une consultation visant à déterminer le soutien des français à la ré-introduction de l'ours semble indiquer qu'une grande majorité se prononce favorable au projet : 89 % se déclarent pour
 
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité