Le Pays Basque, ce n’est pas la vraie vie… c’est un rêve éveillé ! Cette confession est signée Alain Ducasse, le grand chef étoilé : un amoureux du Pays Basque et il n’est pas le seul ! Ce soir, Thalassa vous plonge dans ce territoire en connexion directe avec l’océan.
Le Pays Basque a vu partir Juan Sebastián Elcano, le premier navigateur à faire le tour du monde au XVIe siècle. Il a accueilli Napoléon III et sa femme Eugénie en villégiature à Biarritz.Biarritz, la petite Californie, aujourd’hui terrain de jeu pour surfeurs du monde entier à la recherche de sensations fortes. Sans oublier les amateurs de bain de mer, les pêcheurs et les gastronomes.
Les reportages au programme de l'émission :
- Belhara, la géante basque
Au large de Saint Jean de Luz, il y a une vague mythique : la vague de Belharra. - Les belles de la côte
Quand Napoléon III découvre Biarritz avec sa femme Eugénie, c’est un véritable coup de foudre. Attirés par les bienfaits du climat et des bains de mer, ils vont y séjourner le plus souvent possible. - Les combats d'Anne-Marie
Anne-Marie Vergez est l’unique femme patron pêcheur de Saint-Jean-de-Luz. Elle est surtout un sourire, un caractère, une personnalité hors pair qui fait l’unanimité, à terre comme en mer. Anne-Marie pêche à la ligne depuis 25 ans. Elle a adopté cette technique sélective et artisanale pour protéger la ressource. - Le trésor de l'Adour
Sur la côte atlantique, l'embouchure de l'Adour est l’une des portes d'entrée du pays basque. Ce lieu, on l'appelle aussi la barre. Les vagues peuvent y être redoutables. Quand la houle venue de l'océan vient buter contre les eaux de l’Adour, la barre n'est plus qu'une marmite bouillonnante où se chasse le plus sauvage des poissons : le saumon de l'Adour. - La culture Bilbao
À seulement 150 kilomètres de la frontière, une ville espagnole semble aujourd'hui incarner tous les attributs du modernisme et du dynamisme. Riche, accueillante, branchée, culturelle, Bilbao aurait aujourd'hui tout pour plaire. Surtout aux touristes... - Du pays basque à l'île aux basques
À l'écart du petit village de Sare, dans l'ancienne ferme qu'il a restaurée, Michel Hacala peint en solitaire. Issu d'une famille de marins de Ciboure, Michel l'autodidacte, peint la vie, celle des marins basques avec leurs éternels bérets. Celle de ses ancêtres aussi, partis dès le XVIe siècle traquer les baleines dans l'estuaire du Saint Laurent.