Réunis autour du Président de la ligue des droits de l'homme, les soutiens à la militante basque ont signé une lettre demandant au gouvernement français d'intervenir auprès de Madrid pour obtenir sa remise en liberté.
Ce mardi 27 décembre, lors de cette réunion à Paris au siège de la LDH, l'avocate d'Aurore Martin, Jone Goirezelaia, a analysé l'attitude des autorités espagnoles et la situation d'Aurore Martin. Avec deux heures de sortie par jour, "les conditions en prison sont difficiles" pour la militante basque."Il y a quelque chose d’incompréhensible à constater que les autorités françaises et espagnoles continuent à penser que c’est en ayant recours à la répression que se réglera ainsi un problème politique multiséculaire". avait dit la Ligue des Droits de l'Homme dans une lettre ouverte adressée début novembre à François Hollande.
Parmi les élus présents à cette réunions deux députées PS du Pays Basque : Colette Capdevielle et Sylviane Alaux.