Le volleyeur poitevin avait été condamné en première instance à trois mois de prison avec sursis suite à une altercation en 2015 avec un contrôleur de la SNCF. La cour d'appel a requalifié les faits et ne poursuivra pas le joueur.
Earvin Ngapeth avait été interpellé en juillet 2015 à Paris, accusé d'avoir agressé un contrôleur d'un TGV Paris-Bordeaux. Il aurait demandé au contrôleur de retarder le départ du TGV pour attendre l'un de ses amis, en retard. La discussion se serait envenimée et le joueur aurait alors frappé le contrôleur. En avril 2016, il avait été condamné, en première instance, à trois mois de prison avec sursis.Le volleyeur poitevin a été disculpé en appel par le tribunal de Paris. La justice a finalement confirmé l'absence de délit d'entrave et requalifié la nature des faits : les blessures volontaires ont été reconsidérées comme involontaires.
Les poursuites sont donc terminées.