Deux vies, deux professions, deux destins sur le ruedo des arènes.
Deux vies, deux professions, deux destins sur le ruedo des arènes.
Celui d’Arles est confié chaque année en septembre à deux artistes. Le premier, immuable, s’appelle Francisco de Goya y Lucientes, « Goya » pour les intimes et les costumes. Le second de cette corrida 2012, se nomme Laurent Pallatier d’Aumé, «Loren » pour les intimes et les décors. Le récit d’un pari pictural plus que réussi.
La seconde vie dans le rond et face aux toros, appartient au matador madrilène Alberto Aguilar. Ce petit poucet et grand bonhomme se cogne avec succès tous les « mammouths ». Au mois d’août dernier, quelques jours avant son triomphe à la féria de Dax, le maestro José-Antonio Campuzano le contacte : « Et si nous faisions un bout de chemin ensemble ? ». Histoire d’un banco.
Et en guise de cadeaux pour cette dernière émission de l’année, le feu d’artifice : des muletazos inédits de José Tomás à Nîmes.
Un émission préparée par Joël Jacobi et Vincent Bourg-Zocato
La bande annonce :
L'émission sur le web "Signes du Toro"