Dimanche 13 octobre 2013, festival à la Puebla Del Río Guadalquivir, le Nil andalou. Au 6ème novillo de Fermín Bohórquez, Diego Ventura invite à banderiller. Tous. Les images sont "surex", j'ai le soleil pleine poire. Tant pis, vaut mieux les voir au lieu qu'elles filent aux oubliettes.
La veille, le festival de la Maestranza du samedi 12 octobre, n'a rien donné ou presque. Il fait doux sur Séville. Faut partir tôt à La Puebla Del Río, faut se garer. A 13 heures, on y est. Tournée des estaminets. A la "Peña Cultural Morante de la Puebla", se démènent trois générations de serveurs et leurs épouses. Mami dirige fritures et calamars, tu réclames six fois l'addition et quand elle parvient (demandez-donc à l'ami Roger Chaix) tu t'interroges: tapas incluses, c'est 12 (lire douze) euros pour sept...
En contrabarrera, soit disant numérotée, tous serrés, sardines et harengs. On s'en fiche, heureux, le bonheur est à La Puebla. Morante est un des employeurs de la cité, trois bars dont le divin "La Capilla".
Je paume mes papiers, j'y reviens le lendemain, refais les bistrots, décide de finir à la Guardia Civil. Ils y sont, je bois un verre avec le sergent-chef: " Aquí es buena gente, me dit-il. On nous les a ramenés, vous les avez perdus en sortant de la plaza".
La vidéo des palos du Nil débute avec Diego Ventura et s'achève avec Morante. A vous de reconnaître les autres.
A cheval, si vous n'êtes pas exigeants sur la qualité, je vous proposerai d'autres images. J'ai "Râ" en face. Normal, c'est le Nil ...
zocato
