Ils étaient près de 2.500, ce mercredi 1er mai, rassemblés devant les arènes de Nîmes. Non pas pour défiler mais pour courir 5, 10 ou 21 km 100. Des coureurs qui ont dû affronter la pluie.
1er mai, fête des travailleurs et surtout fête des coureurs à Nîmes.
2.500 courageux ont accroché le dossard au kway et la puce électronique au pied, pour courir 5, 10 ou 21 km, sous une pluie fine mais tenace.
9 heures, départ du semi-marathon, 21 km 100 à parcourir sur une chaussée bien lustrée.
Passées les arènes, les supporters se font plus rares et l'environnement moins plaisant. Dans ces conditions, il faut un moral d'acier pour enchaîner les foulées.
Ce semi-marathon a aussi l'avantage d'être plat et qualificatif pour les championnats de France. Mais pour le coureur moyen ce qui compte, par dessus tout, c'est d'arriver, tel un gladiateur triomphant, dans l'amphithéâtre romain.
Le vainqueur boucle l'épreuve en 1h 3mn et 33 secondes.
Le 1er régional, Ghalid Zoubaa, finit 4e au classement général. L'Alésien courait à Nîmes, le premier semi-marathon de sa carrière de coureur.