Première cette année, à Montpellier, les autorités en accord avec l'association "La Bergerie Languedocienne" ont décidé d'installer un abattoir provisoire pour les sacrifices de l'Aïd-el-Kébir. Un accord a aussi été signé avec les éleveurs de l'Aveyron. Le site est très fréquenté depuis ce matin.
L'abattoir de Pézenas procèdera à 900 abattages au maximum, répartis sur deux jours. Celui de Baillargues ne sera ouvert qu'un jour, pour 650 bêtes, sur dérogation préfectorale pour abattage sans étourdissement.
Mais la nouveauté, c'est l'abattoir temporaire installé dans le quartier Grammont, à Montpellier. Il peut abattre 1.200 moutons sur 2 ou 3 jours, selon les besoins, dans des conditions d'hygiènes maximales.
Première cette année, à Montpellier, les autorités en accord avec l'association "La Bergerie Languedocienne" ont décidé d'installer un abattoir provisoire pour les sacrifices de l'Aïd-el-Kébir. Un accord a aussi été signé avec les éleveurs de l'Aveyron. Le site est très fréquenté depuis ce matin.
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Un abattoir provisoire durant 3 jours à Montpellier
C'est l'association "La Bergerie Languedocienne" qui s'est chargée de l'achat du matériel et de la formation de sacrificateurs, en lien avec la Direction de la protection des populations de l'Hérault et en partenariat avec des éleveurs aveyronnais.
Ce lundi matin, dans le quartier de Grammont, à Montpellier, les installations sont prêtes et très tôt, le site montpelliérain s'est animé.
Les familles sont venues pour assister au rite du sacrifice et à l'abattage, selon la tradition musulmane.
Le Conseil français du culte musulman a fixé la date de la fête de l’Aïd-el-Kébir à ce lundi 12 septembre. Cette fête, qui dure traditionnellement 3 jours, donne lieu à des abattages rituels de moutons.
Les abattages clandestins sont passibles de peines allant jusqu'à 6 mois de prison et 15.000 euros d'amende.