Fin juillet 2016, un homme de 33 ans était froidement abattu de 4 balles de 9 mm devant chez lui par un motard casqué qui avait pris la fuite. Une demi-douzaine d'individus auraient été placés en garde à vue ce matin à Nîmes.
Fin juillet 2016 un homme de 33 ans était froidement abattu de 4 balles de 9 mm devant chez lui par un motard casqué qui avait pris la fuite. Une exécution aux apparences de règlement de compte qui ne collait pas la réputation sans accroc de la victime. L'enquête s'annonçait longue et compliquée.Elle a peut-être connu une brutale accélération ce matin. 10 mois après les faits, sur demande d'un juge d'instruction, le GiGN et les gendarmes de la section de recherche ont procédé à une série d'interpellations dans le quartier de la gare de Nîmes mais aussi au numéro 22 d'une ruelle du centre-ville et dans un village de l'agglo.
Au total, une demi-douzaine d'individus auraient été placés en garde à vue et seraient actuellement entendu par les enquêteurs. Sans que l'on sache encore leur degré d'implication dans l'assassinat de l'été dernier à Bouillargues.
Fin juillet 2016, un homme de 33 ans était froidement abattu de 4 balles de 9 mm devant chez lui par un motard casqué qui avait pris la fuite. Une demi-douzaine d'individus auraient été placés en garde à vue ce matin à Nîmes.