La fédération Française de Judo et l’école de police de Nîmes se sont unies à l’occasion des journées « ensemble pour un avenir citoyen ». Pendant deux jours, la police nationale a transmis aux jeunes judokas les bases du métier.
Pendant 48h, des judokas ont vécu en immersion avec des cadets de l’école nationale de police de Nîmes dans le cadre des journées "ensemble pour un avenir citoyen". Deux jours qui ont permis aux jeunes judokas de découvrir le métier de la police et susciter des vocations.
L'occasion aussi de changer l'image des policiers auprès des jeunes.
Le reportage à l'école de police de Nîmes : Valentine Leboeuf et Olivier Brachard
Ces deux journées sont un moyen pour les cadets de la République de s’entraîner pour le concours de gardien de la paix, et pour les judokas de découvrir un métier proche de leur discipline et pourquoi pas susciter des vocations :
Ce qui me plait dans ce métier, c’est l’esprit d’équipe, l’esprit de groupe, le fait que l’on se soutienne ensemble.
Le but de ces deux jours est de montrer que les prises sont utiles aux interpellations.
Un moyen de rapprocher les deux milieux et de redorer le blason de la police :
On n’a pas forcément une très bonne image des policiers, et cette image où tout le monde discute sur le tatami, c’est une très belle image, un bon esprit de groupe
Une expérience qui porte ses fruits puisqu’en 2016, 30 000 personnes se sont inscrites au concours de gardien de la paix pour 1800 places.