Ce dimanche 26 octobre, 6000 coureurs vont s'élancer dans les rues de Toulouse pour le 8ème Marathon de Toulouse. Afin de vous éviter des désagréments, quelques principes simples doivent être respectés.
Cette année le Marathon de Toulouse prend le départ, dimanche 26 octobre, depuis le pont Pierre de Coubertin aux alentours de 8h30. Certains secteurs du parcours seront fermés à la circulation dès 5h du matin. Il faudra donc anticiper pour ne pas retrouver sa voiture coincée ou pour évaluer les trajets et temps de parcours dans vos déplacements.
Les services techniques des mairies ainsi que les 650 signaleurs bénévoles baliseront le parcours et auront la charge de neutraliser un certain nombre de voies. Si vous devez passez dans les secteurs concernés par le Marathon ou que vous y habitez, renseignez-vous pour éviter les mauvaises surprises.
Ce qu'il faut anticiper :
Afin de faciliter vos déplacements ce jour là, utiliser les itinéraires conseillés et pensez à vous garer hors des zones fermées.Évitez le parcours du marathon et empruntez les grands axes canal du midi, route de Paris, route de Bessières, route de Launaguet, route d’Albi, les périphériques.
Pendant le passage de la course et sur voies du parcours, la circulation est interdite aux véhicules, motos et vélos.
Ce qu'il faut faire :
Pour accéder au centre ville : Privilégiez les transports en commun et plus particulièrement le métro pour accéder au centre et aux marchés Saint-Cyprien, Cristal, Victor-Hugo, Carmes, St Sernin…Utilisez les parkings métro.
- Accès départs marathon et relais : (Pont Pierre de Coubertin) : métro Saint Cyprien République, Arènes (ligne A) / Saint Michel Marcel Langer, Empalot (ligne B)
- Accès village marathon - place du Capitole : métro Capitole (ligne A) / Jean-Jaurès (ligne B).
Trouvez ici le plan général de circulation du marathon :
Tous les détails par quartier sont à retrouver ici
Vidéo : le marathon s'organise aussi le samedi, un reportage de Amélie Poisson et Emmanuel Fillon
Vidéo : Nicolas Dieuze court aussi le Marathon, un reportage de Serge Djian et Eric Coorevits