Du 2 au 4 septembre et pour la 4ème année, se tiendra la Grande Braderie. Pour l'occasion, plus de 1000 boutiques de la Ville rose déstockeront sur les trottoirs. En images, 4 bonnes raisons de s'y rendre.
Pour la quatrième année consécutive, la Grande Braderie de Toulouse investira les rues de la ville du 2 au 4 septembre. L'événement est, comme chaque année, coordonnée par la Ville de Toulouse, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de la Haute-Garonne et la Chambre de Commerce et d’Industrie et près de 1000 magasins y participent.
Quelques jours avant la rentrée, les visiteurs pourront chiner les invendus et les fins de série des commerçants, restaurateurs et artisans de la Ville rose. Voici en images les 4 bonnes raisons pour s'y rendre :
Des places de parking offertes
Plusieurs rues du centre-ville de Toulouse devraient être fermées à la circulation les 2, 3 et 4 septembre
. Pour les automobilistes le dimanche : certains commerces permettront à leurs clients de bénéficier de places de parking offertes.
De la musique et surprises à Gogo
La grande Braderie a réuni l'année dernière des milliers de personnes, plusieurs animations seront prévues pour égayer la Grande Braderie.
Déambulations et autres surprises devraient une nouvelle fois animer l’hypercentre, sur fond de bandas et rythmes jazz.
Dénicher des bonnes affaires
L'année dernière, les étiquettes affaichaient des prix réduits. Des vêtements Entre -30, voire -50 % que le client peut dénicher dans plusieurs boutiques le long des rues du centre-ville. Des affaires à faire, c'est certain.
Articulée autour d'une charte, la braderie autorise des réductions selon la libre appréciation des commerçants.
L'occasion d'entretenir sa condition physique
Dès 11 h et jusqu’à 20 h, la majorité des axes routiers seront fermés. Des perturbations sont donc à prévoir à certains endroits. Il sera bon d’opter pour une bonne marche à pied dans le centre-ville plutôt que de prendre le volant. Cela sera d’autant plus agréable pour profiter comme il se doit d’un Toulouse musical.
