Vente de Toulouse-Blagnac : un spécialiste français de la gestion des aéroports sur les rangs

Un groupe français, spécialisé dans la gestion des aéroports, est intéressé par la reprise de Toulouse-Blagnac. Edeis serait sur les rangs pour le rachat des parts des actionnaires chinois.

Selon nos informations, un candidat se positionne sur la reprise des parts des actionnaires chinois dans l'aéroport Toulouse-Blagnac. Edeis est un nouvel opérateur; Il est né en décembre 2016 d'un partenariat entre la société de participation (française) Impact Holding et le fonds d'investissement (français) Ciclad.

La (nouvelle) structure a racheté les activités françaises du groupe canadien SNC-Lavalin. Ce portefeuille contient 13 agences d’ingénierie et la gestion de 19 aéroports. En décembre 2017, Edeis a affiché clairement son ambition : récupérer 40 infrastrutures aéorportuaires à l'horizon 2022.

Edeis est déjà implanté dans notre région puisque la société gère les aéroports de Tarbes et Toulouse-Francazal. Le groupe réfléchit à une prise de participation mais aussi à un nouveau mode de gouvernance qui associerait plus étroitement les collectivités locales.
Pour rappel, les collectivités locales (Toulouse Métropole, le département et la région) ainsi que la CCI (Chambre de Commerce et d'Industrie) possèdent ensemble 40% des parts de l'aéroport Toulouse-Balgnac. L'Etat détient 10,1%.

On a appris à la fin du mois de janvier que les actionnaires chinois du groupe Casil Europe qui détiennent 49,9% des parts de l'aéroport cherchaient à revendre.

 

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