DOG, la dernière vidéo de Rémi Gaillard fait encore le buzz, d'autant plus que la presse s'en mêle. Traité de "lourdingue" par Libération, le Montpelliérain déguisé en chien enchaîne les mésaventures désopilantes. Ce n'est pas toujours du meilleur goût, mais l'insolence canine fait rire.
Un homme/chien géant enchaîné et abandonné le long de l'autoroute. Une clinique vétérinaire peuplée d'animaux improbables en béquilles qui font fuir les clients. Sous le titre "DOG", Rémi Gaillard a choisi de se déguiser en gros chien débonnaire pour tourner sa dernière vidéo gag.
Difficile de ne pas rire devant la surprise de l'employé d'un cimetière lorsque la grosse peluche fait mine de déterrer un os géant. On sourit aussi quand le chien Gaillard gratte sur la plage en envoyant une grosse brassée de sable sur les touristes. Pour le reste, tout est question de goût... A chacun son sens de l'humour et certaines séquences n'ont visiblement pas fait l'unanimité.
"Lourdingue" selon Libération
Si Libération appréciait le Rémi Gaillard de "Mario Kart", la dernière vidéo est carrément classée dans les indésirables avec ce sous-titre du quotidien national: "Au secours, Rémi Gaillard revient". Et Libération a, semble-t-il, retenu une seule séquence de la vie de chien de Rémi Gaillard : celle où il mime quelques instants la copulation sur une touriste avant de s'enfuir en gambadant sous le regard ébahi de la dame et de son conjoint.
Ce n'est certes pas d'une grande finesse, mais de là à réduire l'ensemble de la vidéo à cette séquence sous l'adjectif "consternant"...
Un "sombre connard" d'après Audrey Pulvar
"Les cons, ça ose tout, alors les sombres connards..." C'est le contenu du tweet envoyé hier par la journaliste en réaction à "Dog"... De quoi relancer le débat en attaquant personnellement, et de façon pas plus "classe" que la vidéo, le comique montpelliérain.
Du pain béni pour Rémi Gaillard qui a vu ainsi se multiplier les clics sur sa vidéo controversée. Il a d'ailleurs répondu sereinement à cette attaque sur sa page Facebook en déplaçant le débat sur le thème de l'abandon des animaux à la veille des vacances.