L'Hérault accueuille la coupe de France de monocycle du 27 octobre au 1er novembre. Une compétion de haut niveau pour une discipline que beaucoup considèrent encore comme un art du cirque et non comme un sport.
Longtemps réservé aux clowns et aux artistes de rue, le monocycle semble enfin s’aventurer hors du chapiteau.
De la piste aux étoiles, il a pris la tangente et roule désormais aussi bien sur le goudron des routes que sur le parquet des terrains de basket.
#Dijon sur la roue les 4, 5 et 6 avril : trial, basket, acrobaties en monocycle http://t.co/casbKdkXhD pic.twitter.com/oD3rBdqEmi
— France 3 Bourgogne (@F3Bourgogne) 2 avril 2015
En quelques années, il est devenu un sport à part entière et rassemble sa propre communauté dans des championnats.
C’est d’ailleurs dans l’Hérault que la coupe de France de monocycle se déroule du 27 octobre au 1er novembre.
S’il ne compte que 1000 licenciés en France, il se pratique aussi bien en discipline athlétique qu’artistique et même en sport extrême.
Une discipline que beaucoup voient encore comme un art du spectacle et non comme un sport. Pourtant, selon ses adeptes, sa pratique est assez exigeante.
C’est vraiment une question d’équilibre au niveau de la ceinture abdominale […] il demande de l’adresse de l’agilité et beaucoup de motivation.
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— Montpellier3m (@Montpellier3m) 27 octobre 2016
Durant quelques jours, une vingtaine d’épreuves seront organisées à Montpellier, Perols et Saint Drezery : de la vitesse, du free-style mais aussi…du basket sur monocycle.