Flash back dans le magazine Viure al pais de ce dimanche. On vous parlera métiers traditionnels. Meunier, menuisier ou encore vétérinaire spécialisé aux chevaux et taureaux de Camargue.
Les Gardians de CamargueD’Aymeric Jonard et Jack Levé
Entre Lunel et la Camargue, les garrigues et les étangs résonnent encore du pas des chevaux et des taureaux. Nous sommes dans le pays de la "fe di biou", où des passionnés se consacrent corps et âme à leurs troupeaux. Au printemps, on procède à la prophylaxie des taureaux de façon à prévenir la tuberculose bovine. C'est également la période de la vermifugation des chevaux, procédé qui prévient les maladies gastro-intestinales. Profondément ancrée depuis deux siècles la "fe di biou" est signe d'un attachement profond à un certain mode de vie camarguais où les troupeaux semi-sauvages qui fréquentent les zones humides représentent un exemple unique au monde.
Lo molièr qui’s haseva tot
De Denis Salles et Pascal Lecuyer
Claude Brouillet est un "jusqu'au-boutiste". Cet agriculteur à la retraite s'est passionné pour les moulins et la fabrication du pain. Et comme il ne fait pas les choses à moitié, Claude a acheté et rénové un moulin dans lequel il fait de la farine avec le blé qu'il produit dans ses champs. Ensuite, il vend cette farine, mais en utilise aussi une partie pour faire son propre pain dans son atelier personnel, avec son vrai four de fournier qu'il a lui même construit.
VIRALENGA: Guy Rabanit
De Myriam François et Laurence Boffet
Retour en Cévennes pour le fauteuil rouge. Belle rencontre avec Guy Rabanit, patron d'une menuiserie à Génolhac. La découverte d'un métier qui se perd à travers les images et des histoires de scies, de scieurs et d'hommes amoureux de leur métier. Mais ce n'est pas tout, Guy Rabanit a plus d'un tour dans son sac grâce à ses origines nissardes par sa mère qui lui a transmis le chant et la facétie. Les Cévennes se réveillent grâce à des hommes qui ont choisi de rester et travailler au pays.