Nous échangeons des milliers de photos en une seconde sur les réseaux sociaux. Y compris des photos d'actualité. Quelles conséquences pour la presse et les pros ? France 3 ouvre le débat au cours d'une édition spéciale réalisée en direct du festival Visa pour l'image. A revoir.
Quelle place pour le photojournalisme à l'ère de Facebook et d’Intagram ? C'est le thème de l'édition spéciale réalisée en direct du festival Visa pour l'image à suivre ce 2 septembre sur notre site et le 4 septembre sur les antennes de France 3 ?Invités
• Jean-François Leroy directeur du festival Visa pour l’image
• Olivier Laurent éditeur Time magazine
• Adrien Selbert photographe
Spéciale Visa pour l'image à revoir
Il y a quelques années les pros de la photo pensaient que l'usage du smartphone allait dévaloriser le travail des photojournalistes, on redoutait la concurrence des amateurs. Aujourd'hui la photographie professionnelle est souvent la plus partagée sur les réseaux sociaux.
L'application Instagram est devenue l'outil de promotion des photographes.
Certains organes de presse publient ces clichés au format carré destiné à être vu quelques secondes sur un mobile.
Signe des temps Visa expose à Perpignan les photos Instagram de David Guttenfelder. Le photographe est suivi par 950 000 abonnés.
L'édition du 19/20 du 2 septembre en direct de Perpignan
Frédéric Lafargue et Laurence Geai étaient les invités du journal de 19 h 00 entièrement consacré à la 28ème édition de Visa pour l'image.
Frédéric Lafargue fait partie des reporters de guerre qui ont vécu auprès de ceux qui fuient Daech à la frontière.
Laurence Geai a enquêté sur la guerre de l'eau que se livrent cisjordaniens et israëliens près de la mer Morte.
Dans le nord de l'Irak, des familles traversent les lignes de front pour rejoindre les zones libérées.
Ils sont filtrés par les Peshmergas, ces soldats irakiens kurdes qui cherchent parmi eux des soldats de DAECH qui chercheraient à fuir.
Photos de Expo Frédéric Lafargue pour Paris Match "Échapper à Daech"
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©France 3 LR