Commissaire des animaux au Salon de l'agriculture pour la seconde année, avec une dizaine autres bénévoles sous de la houlette de Johann Coenne, le commissaire général, Tonio Lopes-Duarte veille aux 1400 canards, oies, dindes et autres pintades, et plus spécialement à la poule vorwerk.
Tonio vit en Seine-et-marne et pense achat de maison en fonction des besoins de sa centaine de poules. Il est tombé dans l'aviculture classique il y a 20 ans, et celle de race, depuis 5 ans. Son rôle de commissaire aux animaux au salon parisien, lui permet d'être en contact direct avec le public, et de le convaincre, que "la meilleure poule, c'est la vorwerk". Une allemande, dont il est tombé amoureux et qu'il cherche à introduire en France. Il a déjà fondé le club français de la vorwerk, au début de l'année 2014.
La mode est à la poule
Sur le salon, il en présente sept avec un certain narcissisme. "Oui je le suis, il faut sûrement l'être pour montrer ses volailles". D'autant que la poule est à la mode et le public n'a jamais été aussi intéressé qu'aujourd'hui. "Les poules ont-elles besoin d'un coq pour pondre? peut-on avoir un coq dans un lotissement ?". Avoir une poule, c'est tendance. Les parents en offrent à leurs enfants. A l'heure du bio, elle ingurgite entre 100 et 150 kilos de déchets alimentaires par an, et elle donne surtout des oeufs frais !Prochaine étape, Metz en novembre pour la rencontre européenne. 40.000 volailles seront présentes pour ce rendez-vous exceptionnel qui a lieu tous les 40 ans !