Une question d'actualité qui nous fournit l’occasion de donner la parole aux Franciliens qui se sentent "oubliés". Un sentiment partagé par beaucoup de gilets jaunes, dont bon nombre francilliens proviennent de l'Essonne.
Jeudi 31 janvier, la rédaction de France 3 Paris Île-de-France se déplace pour une journée entière, à Méréville : une ville située au Sud-Ouest de l’Essonne, à 64 km de Paris.
Lors de nos différentes émissions, toutes en direct, "Ensemble c'est mieux" le matin à 10.50, les journaux de 12h et 19 h, on parle d'économie, de revitalisation des cœurs de bourg, de transport, de logement, d'emploi ou encore de ruralité… et des différentes problématiques pour l’Île-de-France périphérique.
Nos émissions se penchent aussi sur une série de problématiques partagées par les zones rurales franciliennes : "Ensemble c’est mieux" sous la halle de Méréville à 10h50,
les éditions du 12/13 et du 19/20 présentées par William Van Qui et Marlène Blin en direct de la commune et un Dimanche en politique spécial Île-de-France périphérique.
Parmi les invités, nous accueillons entre autres :
Guy Desmurs (sans étiquette) : le maire de Méréville, qui a fait de la revitalisation de sa commune un cheval de bataille quotidien.
Yvan Lubraneski (sans étiquette) : le maire des Molières, président par ailleurs des maires ruraux de l’Essonne.
Pour donner la parole aux Français, nous avons, par exemple, rencontré Marie Hélène Le Flohic, une retraitée vivant à Limay, dans les Yvelines.
La ville, où la classe moyenne rencontre des difficultés, est située à 45 minutes en train de Paris (un reportage d’Antoine Marguet et Yoann Dorion).
Pour savoir, concrètement, de quoi nous allions parler, nous sommes rendus à Monnerville, un petit bourg de l'Essonne du Sud-Ouest. (un reportage de Fraid Benbekai et Philippe Aliès)