L'association des professionnels du film pour vitrages a déposé un recours devant le Conseil d'Etat contre le décret qui interdit la pose de films opacifiants sur les vitres avant des automobiles à partir de janvier 2017.
Les professionnels du sur-teintage des vitres d'automobiles estiment qu'il y a "disproportion entre les mesures prises et l'objectif recherché" par l'Etat, explique leur avocat, Rémy Josseaume.
Selon les professionnels :"une solution beaucoup moins contraignante aurait pu être mise en place" que celle disposée par le décret publié le 14 avril et qui sanctionne les contrevenants d'une amende de 135 euros et d'un retrait de trois points du permis de conduire.
Sont concernées les vitres ne présentant pas le taux minimal de transparence de 70%, c'est à dire le taux exigé pour l'homologation des véhicules sortant d'usine.
Comme toujours dans un tel cas, la profession brandit la menace de suppressions d'emplois. Le point avec Fernando Malverde et Yves Dewulf